Rencontre avec Françoise Vergès, militante féministe décoloniale, au sujet de son ouvrage « Un féminisme décolonial », paru aux Éditions La abrique (2019).
Dans le débat public, être décolonial est une infamie. Dans les universités, dans les partis de gauche et d’extrême gauche, les syndicats, les associations féministes, partout on traque une «pensée décoloniale » infiltrée et funeste pour le vivre-ensemble. Dans l’ouvrage « Un féminisme décolonial » paru en 2019 aux éditions La Fabrique, Françoise Vergès élucide l’objet du scandale. Le féminisme décolonial révèle les impensés de la bonne conscience blanche ; il se situe du point de vue des femmes racisées : celles qui, travailleuses domestiques, nettoient le monde ; il dénonce un capitalisme foncièrement racial et patriarcal.
Une conférence organisée par l’Atelier d’histoire critique le 2 février 2019 à l’espace Angela Davis de Lille.
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