Au programme cette semaine, l’agenda, le communiqué de Human Watch Observer, la revue de presse de Irina, la chronique de Lucien sur La Commune de Paris de 1871 et l’interview de Samuel Leclercq, représentant de la CGT au Centre Hospitalier de Arras.
L’émission du mois de mai revient sur un débat actuel que Jean-Michel Blanquer a remis sur le devant de la scène politique et scolaire : l’interdiction de l’écriture inclusive à l’école. Vrai problème ou détournement ? Sarra, Olivia et Florian nous parlent des règles et de l’histoire de l’écriture inclusive.
Retour sur une Chronique Badass de Lily avec Lilith.
un extrait de la chronique de Lucien sur La Commune de Paris de 1871, aujourd’hui pour poursuivre les raisons, ou supposées raisons, de l’échec de la Commune : pourquoi la Commune a-t-elle été écrasée ? Pourquoi les communard-es n’ont-ils-elles pas triomphé ?
l’interview de Lina et Alexandre, Lina est colombienne, elle est venue nous parler de la situation extrême de répression qui s’abat sur le mouvement social en Colombie, dans ce pays qui est l’un des plus inégalitaires du monde avec 42 % de la population sous le seuil de pauvreté. Elle est venue accompagnée d’Alexandre, président de l’association de solidarité internationale Unidos, qui est français mais colombien de cœur. Merci à tous les deux pour leur courage et leur témoignage.
un peu de musique libre avec Miles Oliver – son album Between the woods – les morceaux « Road is my room » et « 3/8 Tarot ». L’album complet est à écouter en faisant la lecture de son ouvrage « Between the words » dans lequel il retrace les portraits de rencontres subreptices faites au cours de ses pérégrinations aux Etats-unis.
A l’occasion du 150e anniversaire de la Commune de Paris, Les artisans du répertoire (émission réalisée par François de Radio PFM) se proposent de consacrer deux émissions aux chansons qui fleurirent autour de cet évènement.
Après une première émission, Paul et Jacqueline continuent leur mise en perspective des chansons de La Commune avec le déroulement des événements et en particulier de la sanglante répression.
Au delà, ils montrent que cet épisode a été une source d’inspiration pour des artistes plus proches de nous comme Jean Ferrat et Jean-Roger Caussimon.
La chronique d’aujourd’hui vous propose de revenir sur ce bouillonnement politique sous l’angle de la démarche politique à visée démocratique qui a donné lieu à l’Assemblée de la Commune. En effet, on connaît au mot « Commune » une double acception. Il peut d’une part s’appliquer à l’ensemble du mouvement révolutionnaire parisien qui s’est déroulé en 1871 de la mi-mars à la fin de la semaine sanglante, le 28 mai. D’autre part, il qualifie l’Assemblée élue le 26 mars par la population parisienne.
C’est à cet aspect, et surtout au processus d’organisation politique de cette Assemblée communale – organe à la fois législatif et exécutif – que nous allons nous intéresser succinctement aujourd’hui. Puis, nous ouvrirons quelques pistes de réflexion philosophiques sur les courants politiques démocratiques qu’a inspiré La Commune : démocratie des conseils, conseillisme, communalisme, ou municipalisme libertaire : Quelles sont les conditions d’une organisation démocratique du pouvoir ? Quelle est la différence entre République et Démocratie ? (questions essentielles en ce contexte où l’on confond -volontairement ou non – les deux notions, entendant de toutes parts que la république française est une démocratie, assistant même au triste spectacle de ses dirigeants célébrant dans le même temps le « grand » Napoléon).
Nous avions interviewé William Acker, voyageur militant et juriste l’année dernière lors d’un reportage sur les conditions de vie des voyageur.euse.s (La fin du voyage). Cette fois-ci, dans le cadre du 20ème Salon du livre d’expression populaire et critique sociale de Colères du présent sur le thème Nos mondes sauvages, et à l’occasion de la sortie de son livre Où sont les gens du voyage ? Inventaire critique des aires d’accueil (Éd. du Commun), nous avons pu approfondir le problème du racisme environnemental que subissent les dit « gens du voyage ».
L’Afev est une association nationale qui a pour vocation d’accompagner des jeunes en difficulté scolaire et de créer du lien dans les quartiers populaires. Elle fonctionne avec des étudiant.e.s bénévoles ou volontaires en service civique.
Rencontre à l’antenne de Lens avec Sylvain Debonnet, délégué territorial à l’Afev Artois, Mandy, volontaire et Cléo, bénévole.