Alors que les étudiant.e.s en grève de l’Université de Montpellier ont été délogé.e.s par une milice cagoulée et armée, des mouvements de soutien s’organisent partout en France pour dénoncer l’impunité de ce type d’actions fascistes, et la répression de la contestation étudiante. D’autant que ce n’est pas un cas isolé puisque qu’à Lille également un groupe d’identitaires s’en est pris aux étudiant.e.s de Lille 2.
Des manifestations sauvages ont donc émaillé cette semaine, nous avons pour l’occasion tenter d’obtenir plus de précisions. Ce sujet sera également l’occasion de préciser l’objet premier du mouvement étudiant les réformes du Baccalauréat et de l’admission en université (respectivement portées par les ministres Blanquer et Vidal)