La loi « anti-casseurs » votée au parlement le 5 février est qualifiée de loi de circonstances. Celles-ci sont : un mouvement populaire et massif de contestation du pouvoir, pouvoir qui se sent menacé et qui dans l’urgence promulgue une loi pour limiter l’ampleur de ces manifestations. Attentant, par des mesures liberticides aux droits fondamentaux, elle représente une réponse répressive et autoritaire.
Pour en parler, nous avons contacter Alain Vantroys, responsable régional de la Ligue des droits de l’homme.